ROI de La Purification d’Air : Comment la qualité de l’air affecte les résultats de votre entreprise..

La qualité de l'air intérieur (QAI) est devenue une problématique récurrente - elle affecte tous ceux qui passent du temps dans votre entreprise, particulièrement votre personnel. Les frais de personnel, y compris les salaires et les avantages sociaux, représentent généralement environ 90 % des coûts d'exploitation d'une entreprise. Ainsi, les entreprises reconnaissent aujourd'hui qu'une main-d'œuvre en bonne santé et heureuse est un élément essentiel du succès. Bien avant la crise sanitaire du Covid-19, les entreprises investissaient déjà depuis des années dans des éléments tels que des espaces de travail ergonomiques, les dernières technologies voire même avantages gratuits pour satisfaire les employés. Mais la QAI reste l'un des paramètres les plus cruciaux, tout en étant le plus négligé.

Le problème de l'air intérieur est qu'il est 2 à 10 fois plus pollué que l'air extérieur. Les polluants extérieurs pénètrent dans un bâtiment par les portes ouvertes, les fenêtres, les fissures des fondations et ils sont également transportés à l'intérieur par les chaussures et les vêtements. Une fois à l'intérieur, ces polluants ne peuvent pas s'échapper et sont recyclés dans le système de ventilation.

En plus des polluants extérieurs entrants, les environnements intérieurs créent leur propre ensemble de contaminants. Les sources directes de pollution de l'air intérieur comprennent :

• Des sources biologiques telles que des virus et des bactéries libérés dans l'air par des expirations ou de la moisissure qui s'accumulent dans les systèmes de drainage et d'isolation

• Des particules en suspension dans l'air telles que la poussière de tissus et de fibres ou les squames d'individus ou d'animaux

• Des composés organiques volatils (COV) ou contaminants chimiques provenant des produits d'intérieur tels que les vapeurs des solutions de nettoyage ou les émissions des équipements de bureau.

La mauvaise QAI est tellement préoccupante qu'elle est désormais associée à une maladie spécifique. Le « syndrome des bâtiments malsains » provoque des symptômes tels que des maux de tête, de la toux, de la fièvre, des étourdissements, des nausées, une augmentation des crises d'asthme et des symptômes de type allergique. Il est difficile de différencier les symptômes du syndrome des bâtiments malsains d'un rhume ou d'une grippe, de sorte que les employés s'absentent souvent du travail pour se sentir mieux. Ils ne réalisent pas que les symptômes réapparaîtront dès qu'ils rentreront dans le bâtiment.

En plus des divers problèmes de santé connus pour être causés par une mauvaise QAI, il existe des preuves accablantes qui prouvent que la qualité de l'air ambiant dans un bâtiment a un impact sur les coûts et la productivité des employés.

Les employés absents créent un coût financier important pour les entreprises. Aux États-Unis seuls, l'absentéisme des employés se situe à 3 % dans le secteur privé (62,4 heures par an) et à 4 % dans le secteur public (83 heures par an), ce qui coûte aux employeurs plusieurs milliers de dollars par employé et par an. Dans les grandes organisations, cela peut représenter des millions de dollars. Une mauvaise QAI peut accroître ces coûts en augmentant les congés de maladie. Cependant, surmonter les maladies et les malaises liés à la QAI en milieu de travail peut entraîner des économies importantes.

Il est clairement prouvé que l'amélioration d'un environnement commercial avec une meilleure QAI en général, par le biais d'un purificateur d'air, peut réduire les taux d'absentéisme de 15 à 40 %¹. Une étude canadienne a révélé que près d'un tiers des congés de maladie des employés sont attribués à des symptômes causés ou aggravés par une mauvaise QAI². Ce chiffre est confirmé par une étude du Massachusetts qui a noté 35 % moins d'arrêts de travail dans les bureaux avec une bonne QAI par rapport aux bureaux avec une mauvaise QAI, ce qui entraîne une économie de près de 400€ par employé et par an pour l'entreprise avec une meilleure qualité d'air³. Comment une économie de 400€ par employé affecterait-elle votre budget annuel ?

L'une des études les plus intéressantes sur l'effet de la QAI sur les employés a eu lieu en 2009 dans une entreprise du Michigan. Cette étude a comparé les employés avant et après un déménagement d'un bureau conventionnel à un bureau avec une QAI contrôlée et améliorée grâce à un purificateur d'air. Après le déménagement, cette entreprise a constaté une diminution de 50 % des cas d'asthme, d'allergies et de dépression ou d'absentéisme liés au stress. L'absentéisme annuel a été réduit de 120 à 72 heures(4). Cela signifie que les employés ont pu travailler jusqu'à trois semaines par an de plus qu'auparavant, ce qui a eu un impact considérable sur la productivité de l'entreprise.

Une façon pour les employeurs de réduire le coût de l'absentéisme est de fournir un environnement qui stimule de manière proactive le bien-être. Les coûts des soins de santé peuvent être fortement liés à l'environnement de travail(5). L'exposition aux polluants intérieurs peut agir nocivement sur le système respiratoire, immunitaire et nerveux, augmentant les besoins et les coûts des soins médicaux des travailleurs. Une analyse complète de Carnegie Mellon indique que l'amélioration de la QAI peut permettre aux entreprises de réaliser des économies de 0,8 à 1,3 % sur les seuls coûts de santé(6). Cela peut sembler être un petit pourcentage, mais lorsqu'il est calculé par rapport au grand nombre de coûts de santé des employés, cela peut faire une différence considérable dans le résultat net d'une entreprise.

Si la masse salariale est la principale source de dépense pour une entreprise, il est logique que tout investissement susceptible d'améliorer la performances des employés se rentabilise en dividendes. Les entreprises prospères savent qu'une main-d'œuvre en bonne santé et engagée est un élément essentiel de leur rentabilité. Il a été prouvé à maintes reprises qu'un purificateur d'air améliore la performance et la productivité des employés.

Une méta-analyse de 24 études a révélé qu'une mauvaise QAI réduisait les performances jusqu'à 10 % sur des mesures telles que la vitesse de frappe et la rapidité d'accomplissement des tâches(7). Il a également été démontré que les polluants de l'air intérieur augmentent la fatigue et diminuent les capacités de prise de décision(8). Une analyse complète de Carnegie Melon a montré des gains de productivité de 3 à 18 % lorsque la QAI était améliorée(6). Mais comment cela correspond-il à la valeur monétaire?

Une étude de l'Université de Harvard a examiné comment l'amélioration de la QAI au bureau peut affecter l'utilisation de l'information, l'étendue de l'approche, la stratégie et la réponse aux crises chez les employés, tous des marqueurs d'un employé productif. Ils ont constaté que l'amélioration de la QAI augmentait la performance des travailleurs de 8 %, ce qui aux États-Unis se traduisait par une augmentation de productivité de $6500 chaque année(9). Lorsque les coûts d'amélioration de la QAI ont été pris en compte, l'amélioration de la QAI a produit un retour sur investissement de 160 % basé sur la seule productivité des travailleurs. Cela correspond aux données de Carnegie Mellon qui suggèrent un retour sur investissement moyen d'une QAI améliorée d'au moins 120 %(7).

Chez ScentAir, nous comprenons que l'amélioration de la qualité de l'air intérieur de votre entreprise est un investissement qui doit générer un rendement solide. Nous collaborons avec de nombreuses entreprises, issues d'industries diverses sur le marché, et proposons des technologies de purification d'air scientifiquement prouvées et adaptées à votre espace et à votre budget. Nous sommes convaincus que vous constaterez que les impacts positifs de l'amélioration de la QAI l'emporteront largement sur les coûts supplémentaires liés à l'utilisation d'un nouveau système de purification d'air. Laissez-nous vous montrer comment nous pouvons améliorer la qualité de votre air et trouver l'équilibre parfait entre une QAI optimisée et des économies de coûts.

Sources :

1 World Green Building Council (2014) Health, Wellbeing & Productivity in Offices.

2 Charles KE, Danforth AJ, Veitch JA, and Johnson B. (2004) Workstation Design for Organization Productivity.

3 Milton DK., Glencross PM., and Walters MD. (2000) Risk of sick leave associated with outdoor air supply rate, humidification, and occupant complaints. Indoor Air 10, pp 212-221.

4 Singh A. Syal M. Grady S. Korkmaz S. (2010) Effects of Green Buildings on Employee Health and Productivity. American Journal of Public Health 100(9), pp. 1665-1668.

5 Loftness V, Hartkopf V, Gurtekin B, Hua Y, Qu M, Snyder M. (2005) Building Investment Decision Support Tool (BIDS). Carnegie Mellon University.

6 Carnegie Mellon (2004) Guideline for high performance buildings – ventilation and productivity.

7 Wargorcki P. (ed.) Seppanen O. (ed.) Andersson J. Boerstra A. Clements-Croome D. Fitzner K. Hanssen SO. (2006) EHVA Guidebook: Indoor Climate and Productivity in Offices.

8 Bako-Biro Z. Clements-Croome DJ. Kochhar N. Awbi HB and Williams MJ. (2012) Ventilation rates in schools and pupils’ performance. Building and Environment 48, pp, 215-223.

9 MacNaughton P. Pegues J. Satish U. Santanam S. Spengler J. Allen J. (2015) Economic, Environmental and Health Implications of Enhanced Ventilation in Office Buildings. International Journal of Environmental Research and Public Health 12(11), pp 14709-14722.