Soyons honnêtes. La première motivation à s’inscrire dans une salle de gym vient généralement d’un désir d’améliorer notre santé. Et un club de fitness est un environnement sain, n’est-ce-pas ? Pas tant que ça. Chaque expiration durant une séance de gym augmente la pollution intérieure, et l’atmosphère se dégrade de façon exponentielle avec l’émission de virus, bactéries et gaz nocifs circulants en espace fermé, pour être finalement inhalés par les adhérents.
Couplé avec les émanations de produits de nettoyage indispensables pour garder un environnement propre, la qualité de l’air intérieur est alors impactée de façon drastique.
Poussière, gouttelettes et composants organiques volatiles... Tout un programme!
Les salles de gym sont reconnues pour être un environnement difficile à maintenir dû à la nature de leur activité. Un nombre relativement important de personnes s’activant dans un espace assez restreint engendre l’émissions de 3 principaux éléments dans l’air : la poussière, les gouttelettes de respiration et les COV (composants organiques volatiles).
La poussière, souvent sous forme de particules tellement minuscules qu’elles sont invisibles à l’œil nu, se déplace en permanence lorsque les adhérents soulèvent des poids ou s’activent lors de séances à impact. Le mouvement constant dans les salles de fitness empêche la poussière de se poser au sol et les particules restent aéroportées. Cette poussière provenant principalement des serviettes, chaussures ou tenues portées par les adhérents, elle est quasiment impossible à éviter.
Les gouttelettes de respiration représentent un contaminant reconnu en air intérieur1. Minuscules particules suspendues dans l’air ambiant, elles arrivent alors directement dans nos poumons. Le problème de ces gouttelettes réside dans le fait qu’elles représentent le vecteur parfait pour toutes sortes de virus, dont le SARS-COV-2, la grippe et le rhume saisonnier. Extrêmement légères, elles peuvent rester en suspension dans l’air pendant plusieurs heures et se déplacer plus loin que la distance de sécurité préconisée de 1.50m.
Au repos, une personne expire en moyenne 500 gouttelettes par minute. Lors d’une activité physique intense, ce nombre peut être multiplié par 130, pour atteindre jusqu’à 76 000 par minute2. Imaginez ces gouttelettes en suspension dans l’air pendant un cours de Zumba, et les chances de contamination sont multipliées.
Les COV sont également d’autres polluants que l’on retrouve fréquemment dans les salles de sport. Ces éléments chimiques, existants sous forme de gaz, affectent votre niveau d’énergie et votre concentration (exactement ce que l’on souhaite éviter pendant la séance). Des études ont démontré que le formaldéhyde et l’acétone sont des COV fréquemment rejetés durant une activité physique, à des niveaux supérieurs aux normes acceptables pour la qualité de l’air intérieur1,3. Les COV sont aussi responsables des potentiels problèmes de mauvaises odeurs auxquels font face la plupart des établissements.
Un Cocktail Chimique
En plus de l’expiration de gouttelettes, les adeptes de la salle de fitness sont également exposés aux COV issus de la transpiration. Une personne en activité physique émet en effet autant que 5 personnes sédentaires2. Outre la problématique des mauvaises odeurs, ces composants organiques volatiles réagissent au contact des produits nettoyants et forment alors un « cocktail chimique », détériorant un peu plus encore la qualité de l’air.
L'Environnement
La plupart des clubs de gym possèdent aujourd’hui des saunas et des piscines, en plus des sanitaires, douches et vestiaires. Ces infrastructures augmentent le niveau d’humidité présent dans l’air, ce qui peut potentiellement engendrer la moisissure. Reconnue comme nocive pour la santé, elle peut causer des crises d’asthme, des réactions allergiques et des difficultés à respirer. Certainement pas propice à une séance de gym productive. Et tout comme les COV, la moisissure peut également être responsable de mauvaises odeurs.
De nombreux établissements connaissent une aération insuffisante, due aux systèmes de ventilation CTA non conçus pour un tel environnement, ou ne faisant pas l’objet de maintenance régulière. Pour être efficace, un système de ventilation CTA doit complètement renouveler l’air d’un environnement fermé 4 fois par heure, alors que la plupart des systèmes n’en sont capables que 1 à 2 fois par heure. Changer un système s’avère coûteux, chronophage et peu réaliste. Il est donc plus pertinent de chercher une autre façon de renouveler l’air pour les établissements.
Comment fidéliser les clients d'une salle de sport ?
Vos adhérents ont choisi votre club dans le but d’améliorer leur bien-être grâce au sport. Soucieux de leur santé, une qualité de l’air supérieure est un critère essentiel dans le choix de leur salle de sport.
Améliorer la qualité de l’air de votre établissement à l’aide d’un système de purification ScentAir vous permet de renforcer les processus de nettoyage de vos salles, de protéger vos clients et vos équipes, et de faciliter la neutralisation d’odeurs. Quels que soient la taille de votre établissement, le nombre de salles et votre budget, nous avons une solution adaptée pour vous aider à améliorer la rétention de vos membres, accroître la satisfaction client, et maintenir votre taux de présence sans modifier votre système de ventilation existant.
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1 https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/8694-L-air-inte…
2 https://fr.news.yahoo.com/covid-19-etudes-montrent-risques-salles-sport…